12 jours de triomphe: Sandrine Hamel glisse sous les réflecteurs aux championnats du monde de parasnowboard

Cette constance dans ses performances est ce que Hamel voulait accomplir en 2019

Pour cette période des fêtes, nous célébrerons certains de nos souvenirs sportifs préférés tout au long de l'année. Les para-athlètes canadiens ont réalisé beaucoup de choses en 2019, et nous nous souviendrons d'une performance chaque jour pendant 12 jours.

Elle fait de la boxe comme entraînement croisé, donc cela ne devrait pas être une surprise que Sandrine Hamel soit aussi une battante en parasnowboard.

Cette détermination a continué de briller en 2019 quand elle a atteint de nouveaux sommets conclus avec deux médailles d’argent aux championnats du monde à la fin de mars à Pyha, en Finlande. 

À Pyha, elle a terminé deuxième en snowboard cross et en slalom incliné pour obtenir ses premières médailles en carrière aux championnats du monde. Elle a aussi décroché trois podiums dans le circuit de la Coupe du monde la saison dernière et a lancé la campagne 2019-20 avec quatre médailles en quatre courses de la Coupe du monde.

Cette constance dans ses performances est ce que Hamel voulait accomplir en 2019. Maintenant, la prochaine étape logique, la plus difficile de toutes, est d’un jour être numéro une au monde. 

Née avec une double scoliose majeure, elle a aussi subi une paralysie de la jambe droite au cours d’une opération de correction. Elle a travaillé fort sur la force de sa jambe au cours de l’entre-saison dans le but de réduire l’écart avec la Néerlandaise Lisa Bunschoten qui domine toujours le sport dans la catégorie SB-LL2. 

Au centre d’entraînement de Bromont l’été dernier, elle a aussi travaillé avec une porte de départ simulée pour améliorer ses départs dans de vraies courses.

« Le travail que j’ai fait cet été m’aidera à long terme », dit-elle. 

En fonction des résultats de cet automne, les améliorations arrivent plus vite que prévues.
Sandrine Hamel