Déclaration du COC et du CPC sur le boycottage diplomatique du Canada de Beijing 2022

« Nous comprenons et respectons la décision du gouvernement »
An image of Beijing in the winter

TORONTO/OTTAWA – Le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien ont fait la déclaration suivante mercredi en réaction à l’annonce du gouvernement fédéral de procéder à un boycottage diplomatique des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Beijing 2022.

« Nous comprenons et respectons la décision du gouvernement de ne pas envoyer de missions diplomatiques aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2022 à Beijing. Nous reconnaissons aussi comment cette annonce établit une importante distinction entre la participation des athlètes et celle des représentants du gouvernement aux Jeux.

« Le Comité olympique canadien et le Comité paralympique canadien restent préoccupés par les enjeux actuels en Chine, mais nous comprenons aussi que les Jeux créeront une plateforme importante pour attirer l’attention sur ces enjeux. L’histoire a démontré que le boycottage des athlètes ne fait mal qu’aux athlètes sans créer de changements significatifs. Nous reconnaissons aussi l’importance d’Équipe Canada pour les Canadiens et nous nous sommes engagés à nous assurer qu’ils participent aux Jeux en toute sécurité. Nos athlètes possèdent une capacité unique d’inspirer des millions de Canadiens de tout âge, et des milliards de personnes à travers le monde, alors que les Jeux favorisent les liens de plus en plus importants entre les personnes.

« Nous remercions le premier ministre Justin Trudeau, la ministre des Sports Pascale St-Onge, le secrétaire parlementaire de la ministre des Sports Adam van Koeverden, et le gouvernement canadien pour leur soutien continu d’Équipe Canada et nous savons qu’ils encourageront Équipe Canada avec les Canadiens d’un océan à l’autre cet hiver. » 

– David Shoemaker, chef de la direction et secrétaire général, Comité olympique canadien

– Karen O’Neill, chef de la direction, Comité paralympique canadien

Pour plus d'information Beijing 2022 : Un boycottage n'est pas la solution