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Dirigeante très respectée de la communauté sportive canadienne avec une vaste expérience acquise dans de nombreux postes de direction, Karen O’Neill est à la tête du Comité paralympique canadien depuis juin 2013.

Sous sa gouverne, le CPC a connu une croissance fulgurante. L’organisme a augmenté en taille et en portée dans tous les domaines en faisant progresser le parasport au Canada tout en galvanisant sa réputation de chef de file national et international.

Défenseuse consciencieuse infatigable d’un environnement sportif inclusif, Karen est membre de nombreux groupes qu’elle fait profiter de sa voix et de son travail dans le but d’améliorer la communauté sportive au pays. Parmi eux, il y a la fondation Sport pur, qui fait la promotion des valeurs et de l’éthique dans le sport, le groupe de travail de la politique canadienne du sport et le groupe de travail du Code de conduite universel pour prévenir et contrer la maltraitance dans le sport (CCUMS). Elle milite également pour le sport sécuritaire au Canada. Sur la scène internationale, elle est membre du comité pour les femmes dans le sport du Comité international paralympique.

En 2018, elle a été nommée dirigeante de l’année par Sports Media Canada dans la foulée des Jeux paralympiques d’hiver les plus fructueux du Canada, ceux de PyeongChang.

Avant de se joindre au CPC, elle a été cheffe de la direction de Hockey sur gazon Canada de 2209 à 2013 et directrice de l’exploitation de la fondation Rick Hansen de 2004 à 2009, où son mandat a concordé avec une période de croissance rapide et d’innovation. Elle a également été chef de la direction de Jeux du Commonwealth Canada de 1997 à 2004, où elle a piloté la stratégie pour les Jeux de Kuala Lumpur 1998 et de Manchester 2002.

Elle a également été directrice générale de l’Association canadienne des sports en fauteuil roulant de 1989 à 1992 et chef de mission de l’équipe olympique canadienne lors des Jeux d’Atlanta en 1996.

Originaire d’Halifax, elle est titulaire d’une maîtrise en éducation de l’université McGill et d’un baccalauréat ès arts en psychologie de l’université Concordia.