L’intronisation au Temple de la renommée ouvre la porte des souvenirs pour Josh Dueck
« Le sport est vraiment une répétition en costume pour ce que nous affrontons dans le monde réel »
« Le sport est vraiment une répétition en costume pour ce que nous affrontons dans le monde réel »
Son intronisation au Temple de la renommée 2019 en tant qu’un des plus grands paralympiens du Canada sur et hors des pentes est une dose de bonnes nouvelles dans ce qui a été une année difficile pour Josh Dueck.
En février, son père, Peter Dueck, est décédé d’un cancer puis, il y a seulement deux mois, sa mère, Vickie Dueck, est décédée de complications cardiaques – ou, quelqu’un pourrait dire, d’un coeur brisé. Le couple était dans sa 50e année de mariage.
« J’ai vraiment réfléchi aux valeurs et aux leçons qu’ils ont instillées dans ma vie », a dit Dueck, triple médaillé des Jeux paralympiques en ski assis en deux Jeux (2010 et 2014). « Mon père m’a enseigné la valeur du travail acharné et de la persévérance. Ma mère m’a enseigné à être patient et gentil. »
Apprendre qu’il serait intronisé au Temple de la renommée paralympique canadien a été une occasion pour se rappeler d’excellents souvenirs dans ce chapitre de sa vie d’athlète de haute performance.
« Je n’aurais jamais de ma vie imaginé avoir une chance de voyager à travers le monde avec d’excellentes personnes, de représenter notre beau pays et en plus d’avoir du succès », a dit le champion du super combiné en ski assis à Sotchi 2014, où il a aussi été le porte-drapeau du Canada lors de la cérémonie de fermeture.
« Je voulais simplement m’amuser, vraiment apprécier toute l’expérience d’être un skieur. Je me suis senti vraiment privilégié de faire cela et de représenter le Canada. »
Tandis qu’il y a eu des moments difficiles après l’accident en 2004 qui l’a laissé paraplégique, Dueck a trouvé une force intérieure grâce au sport qui a fait de lui un champion et un modèle pour les gens, qu’ils soient sans ou avec un handicap.
« Le sport est vraiment une répétition en costume pour ce que nous affrontons dans le monde réel », a dit Dueck, maintenant marié avec deux jeunes enfants. « Les cinq dernières années n’ont pas été sans les défis de la transition à des rôles et des capacités différents. »
Mais comme il l’a fait sur les pentes, Dueck a surmonté ces obstacles, a fait de fortes impressions sur les gens et a maintenant complété sa métamorphose en devenant directeur exécutif de Freestyle BC. Il a été skieur acrobatique et a entraîné dans le sport avant son accident.
« J’ai toujours ressenti une responsabilité, même un devoir, de redonner au sport », dit-il. « Le sport m’a donné beaucoup et pouvoir redonner à une organisation sportive qui m’a autant donné, c’est une combinaison parfaite. Je ne pourrais pas être plus heureux avec le rôle que j’ai et l’équipe avec qui je travaille. »
Dueck a aussi rendu hommage à l’entraîneur para-alpin Jean-Sébastien Labrie.
« J.S. m’a enseigné l’importance de la communication et l’habileté d’avoir ce dialogue ouvert et honnête avec les gens autour de vous », dit-il. « Il avait simplement un esprit ouvert et faisait tout ce qu’il pouvait pour garder ce dialogue honnête entre nous deux. »
Labrie n’est toutefois qu’une personne dans un très grand groupe qui a joué un rôle vital pour que Dueck atteigne le sommet dans son sport.
« Je pense à toutes les personnes qui m’ont aidé à me former et pour les leçons que j’ai apprises », a dit Dueck, qui continue d’être impliqué dans des camps de ski para-alpin et de faire des conférences.
« Je veux que les gens soient ravivés à propos de la vie et être reconnaissants. « Mais il y a des moments quand vous devez être courageux, puiser au fond de vous et travailler fort. »
Dueck sera officiellement intronisé au Temple de la renommée paralympique canadien lors d’une cérémonie le 15 novembre à Vancouver.
Pour obtenir plus de renseignements:Son intronisation au Temple de la renommée 2019 en tant qu’un des plus grands paralympiens du Canada sur et hors des pentes est une dose de bonnes nouvelles dans ce qui a été une année difficile pour Josh Dueck.
En février, son père, Peter Dueck, est décédé d’un cancer puis, il y a seulement deux mois, sa mère, Vickie Dueck, est décédée de complications cardiaques – ou, quelqu’un pourrait dire, d’un coeur brisé. Le couple était dans sa 50e année de mariage.
« J’ai vraiment réfléchi aux valeurs et aux leçons qu’ils ont instillées dans ma vie », a dit Dueck, triple médaillé des Jeux paralympiques en ski assis en deux Jeux (2010 et 2014). « Mon père m’a enseigné la valeur du travail acharné et de la persévérance. Ma mère m’a enseigné à être patient et gentil. »
Apprendre qu’il serait intronisé au Temple de la renommée paralympique canadien a été une occasion pour se rappeler d’excellents souvenirs dans ce chapitre de sa vie d’athlète de haute performance.
« Je n’aurais jamais de ma vie imaginé avoir une chance de voyager à travers le monde avec d’excellentes personnes, de représenter notre beau pays et en plus d’avoir du succès », a dit le champion du super combiné en ski assis à Sotchi 2014, où il a aussi été le porte-drapeau du Canada lors de la cérémonie de fermeture.
« Je voulais simplement m’amuser, vraiment apprécier toute l’expérience d’être un skieur. Je me suis senti vraiment privilégié de faire cela et de représenter le Canada. »
Tandis qu’il y a eu des moments difficiles après l’accident en 2004 qui l’a laissé paraplégique, Dueck a trouvé une force intérieure grâce au sport qui a fait de lui un champion et un modèle pour les gens, qu’ils soient sans ou avec un handicap.
« Le sport est vraiment une répétition en costume pour ce que nous affrontons dans le monde réel », a dit Dueck, maintenant marié avec deux jeunes enfants. « Les cinq dernières années n’ont pas été sans les défis de la transition à des rôles et des capacités différents. »
Mais comme il l’a fait sur les pentes, Dueck a surmonté ces obstacles, a fait de fortes impressions sur les gens et a maintenant complété sa métamorphose en devenant directeur exécutif de Freestyle BC. Il a été skieur acrobatique et a entraîné dans le sport avant son accident.
« J’ai toujours ressenti une responsabilité, même un devoir, de redonner au sport », dit-il. « Le sport m’a donné beaucoup et pouvoir redonner à une organisation sportive qui m’a autant donné, c’est une combinaison parfaite. Je ne pourrais pas être plus heureux avec le rôle que j’ai et l’équipe avec qui je travaille. »
Dueck a aussi rendu hommage à l’entraîneur para-alpin Jean-Sébastien Labrie.
« J.S. m’a enseigné l’importance de la communication et l’habileté d’avoir ce dialogue ouvert et honnête avec les gens autour de vous », dit-il. « Il avait simplement un esprit ouvert et faisait tout ce qu’il pouvait pour garder ce dialogue honnête entre nous deux. »
Labrie n’est toutefois qu’une personne dans un très grand groupe qui a joué un rôle vital pour que Dueck atteigne le sommet dans son sport.
« Je pense à toutes les personnes qui m’ont aidé à me former et pour les leçons que j’ai apprises », a dit Dueck, qui continue d’être impliqué dans des camps de ski para-alpin et de faire des conférences.
« Je veux que les gens soient ravivés à propos de la vie et être reconnaissants.
« Mais il y a des moments quand vous devez être courageux, puiser au fond de vous et travailler fort. »
Dueck sera officiellement intronisé au Temple de la renommée paralympique canadien lors d’une cérémonie le 15 novembre à Vancouver.
Pour obtenir plus de renseignements: https://paralympique.ca/temple-de-la-renommee-paralympique-canadien