Paralympiens recherchés est une précieuse activité de recrutement pour les entraîneurs
Paralympiens recherchés est une précieuse activité de recrutement pour les entraîneurs
Paralympiens recherchés est une précieuse activité de recrutement pour les entraîneurs
TORONTO – C’est le « Combine » du dépistage de la NFL du sport paralympique et pour les entraîneurs comme l’ancien de la LNH, Mike Foligno, Paralympiens recherchés du Comité paralympique canadien est une occasion de voir et, potentiellement, convaincre un futur joueur de se joindre à la formation de para-hockey sur glace.
« Les athlètes ici sont intéressés à s’engager envers un certain sport et notre sport est une option », a dit Foligno, l’entraîneur national de développement du Canada de para-hockey sur glace. « Nous offrons l’option de sport d’équipe qui inclut que vous et d’autres soyez les meilleurs que vous pouvez. »
L’activité la plus récente de Paralympiens recherchés a eu lieu samedi (le 27 octobre) au Centre sportif panaméricain de Toronto et a été organisée en collaboration avec l’Institut canadien de sport Ontario. C’est une activité d’identification d’athlètes d’une journée pour tester les aptitudes des participants pour exceller dans divers sports paralympiques et peut-être, un jour, représenter le Canada aux Jeux paralympiques.
Le para-hockey sur glace est certainement une des attractions les plus populaires pour les para-athlètes potentiels.
« Une portion de la recherche est de leur faire découvrir ce qu’ils peuvent faire pour être prêts à jouer », a dit Foligno, un vétéran de 15 ans de la LNH qui a joué plus de 1000 parties. « Et bien sûr nous rencontrons l’athlète, découvrons quelles sont ses aspirations, lui parlons de notre sport et de ce qu’il faut pour faire notre équipe. »
Adam Frost, entraîneur ProchaineGén de Rugby en fauteuil roulant Canada, a dit que Paralympiens recherchés ne pouvait pas arriver à un meilleur moment alors que la formation est présentement dans une phase de reconstruction.
« En rugby en fauteuil roulant, nous devons avoir une dysfonction dans trois des quatre membres, donc nous recherchons un genre spécifique d’athlètes », a dit Frost, de Vancouver. « Nous avons eu du succès dans le passé en recrutant des athlètes dans Paralympiens recherchés et il n’en faut qu’un pour faire une différence. »
Ethan Dobrenski, âgé de 16 ans, de St. Catharines, en Ontario, participait à sa première activité de Paralympiens recherchés. Dobrensky a une déficience dans le bras droit et la jambe droite, mais continue d’être actif en jouant au hockey dans l’équipe de l’école secondaire Great Lakes et en pratiquant des arts martiaux comme le kickboxing.
Il croit que son meilleur potentiel est en parataekwondo (un nouveau sport paralympique pour 2020) mais il est ouvert à toutes les suggestions. Il a effectué des tests en vélo stationnaire, de vitesse et de sauts, des exercices de force et du vélo à mains.
« J’ai toujours connu les Jeux paralympiques et j’ai grandi en regardant les Jeux », a-t-il dit après ses trois heures de tests. « J’étais excité d’apprendre qu’il y en avait en Ontario et je voulais me tester. C’est vraiment une excellente occasion. »
L’activité accueille aussi des athlètes actuels ou anciens qui visent transférer dans un nouveau sport paralympique ou découvrir un sport qui peut compléter leur principale discipline.
C’était le cas pour Abi Tripp, de Kingston, en Ontario, une membre de l’équipe nationale du Canada de paranatation qui a participé aux Jeux paralympiques de Rio en 2016.
« J’aime les sports », a-t-elle dit. « Je pense qu’il est important de jouer et de s’entraîner dans différents sports parce que cela garde la procédure de préparation intéressante. Je suis vraiment venue ici pour voir ce qui serait une option idéale d’entraînement croisé pour ma natation. »
L’ambassadrice de l’activité et sprinteuse aux Jeux paralympiques de 2016 Marissa Papaconstantinou a accueilli les 20 participants, samedi, et les a encouragés toute la journée.
« C‘est la première étape. Essaie-le, adopte-le et vise tes records personnels », leur a-t-elle dit.