« Je me considère un produit du mouvement paralympique », a dit Edgson, 21 fois médaillé des Jeux paralympiques de 1984 à 1992, dont 18 médailles d’or. « C’est important de remettre à une organisation et à un mouvement qui m’ont aidé à me développer comme personne. »
« En même temps, c’est quelque chose que je soutiens entièrement et en quoi je crois. »
Après sa carrière compétitive, Edgson a fait partie du conseil d’administration du CPC comme directeur des finances pendant quatre ans. Puis il y a environ deux ans, il s’est impliqué dans la Fondation paralympique du Canada du Comité paralympique canadien.
« Cela stimule la commandite, l’implication, les dons et la sensibilisation de la collectivité et améliore le portrait du mouvement paralympique. C’est une activité très facile d’être impliqué en sachant très bien ce que cela signifie et représente. »
Professionnellement, Edgson a travaillé avec la RBC pendant plus de 20 ans dans divers rôle de leadership. Présentement, il est un planificateur d’investissement et de retraite. Il demeure à Ladner, en C.-B., tout juste en dehors de Vancouver, avec sa femme. Ses trois enfants vont tous à l’université.
Comme tous les Canadiens d’un océan à l’autre, Edgson a été ravi par les performances à PyeongChang qui ont dépassé les attentes. Il dit que ce n’est qu’un autre exemple de comment le mouvement paralympique continue d’évoluer.
« Le mouvement s’est étendu à travers le monde », dit-il. « Le Canada est à l’avant-garde depuis les années 1980 et continue d’être un des pays dominants dans le mouvement paralympique.
« La profondeur de la compétition et la vitesse s’élèvent de plus en plus chaque année. Cela a amené de l’expertise, du financement, des ressources et de la sensibilisation.
« Le sport se tisse beaucoup dans le tissu moral dans ce pays. Les para-athlètes font partie de ce tissu. »